Christine est arrivée tout de suite. Toujours sexy en jupe et cuissardes. Moi seul sait qu’elle ne porte pas de culotte. Elle est toujours partante pour du sexe amateur. A voir ou à faire d’ailleurs. Cette fois, elle a été mignonne et s’est installée d’elle-même sous le bureau. Elle m’a sucé divinement bien. Le contact de sa langue sur ma longue queue m’a excité direct. J’étais en train de gémir quand la porte s’est ouverte. Un collègue de travail. Cette salope de Sandrine a continué de m’astiquer le poireau en douce pendant les cinq minutes de notre conversation. Pour la punir, je lui ai éclaté la chatte sur mon bureau et avant, j’ai fait claquer ses fesses bien fort.